le 13 décembre 2019
Le Conseil scientifique a pu tenir sa première séance de travail le vendredi 13 décembre à Dakar dans les locaux de l’École Supérieure Polytechnique. Elle a permis de rendre compte de l'état d’avancement des activités et de démontrer l'originalité et l’ambition de ce projet aux experts européens et africains de la qualité et du monde socioéconomique. Les interventions furent riches d'enseignements et ont permis de prodiguer des conseils opportuns aux acteurs du projet.
Composition du Conseil scientifique de ASICIAO: Les Directeurs des écoles partenaires, Les membres du comité de pilotage, Prof. Bertrand MBATCHI, Secrétaire Général de la CAMES, Prof. Oumar SOCK, Secrétaire perpétuel de l’Académie Nationale des Sciences et Technologies du Sénégal (ANSTS), Prof. Sonnou TIEM (Expert togolais), Prof Stephan DELPLACE Secrétaire honoraire de EURACHE (Expert européen), Prof. Xavier MICHEL, Consultant (expert européen), Mr Mbaye SAR Président Commission Formation-Emploi de la Confédération nationale des Employeurs du Sénégal, Mr. DAOU, Président Directeur Général de SODIGAZ SA (Expert togolais) et des représentants des étudiants des écoles partenaires (1 par établissement du pays hôte).
Chaque établissement bénéficiaire a eu l'occasion de présenter leur école avec l'apport des premiers résultats du projet. Un état d'avancement de chaque lot de tâches.
Un débat a été proposé pour discussion lors de la prochaine séance qui se déroulera en octobre 2020 à Thiès au Sénégal.
Débat : Le projet ASICIAO est volontairement transformant pour les établissements accompagnés et adresse les éléments les plus profonds. En ce sens, il ne s’agit pas de coopération au sens traditionnel du terme, c’est-à-dire, de développement d’un curriculum (commun ou non), en marge de l’existant. L’objectif est d’accompagner, sous une forme plutôt maïeutique l’autonomisation des établissements et la mise aux standards internationaux.
1. Comment les directions d’établissement impliquent-elles l’ensemble des acteurs et parties prenantes, internes comme externes ? Comment arrivent-elles à convaincre chacun de s’impliquer et de repenser sa stratégie et ses pratiques ?
2. Cette étape est parfois longue, voire infructueuse, et finalement peu d’acteurs participent, ou les actions sont en marge du fonctionnement stratégique et quotidien de l’établissement. Quels sont les difficultés ou blocages rencontrés ? Comment est-il possible de les dépasser ?